[VIDEO] Présidentielle 2022 : selon François Hollande, Zemmour est « plus identitaire et extrême » que Marine Le Pen - 01Topinfo

L’ex-président de la République a vivement critiqué Eric Zemmour ce mercredi 20 octobre sur France Inter. Si le polémiste se présentait en 2022, il s’agirait ainsi d’"une candidature de scission", selon l’ancien chef de l’État.

*Image d'illustration : François Hollande, invité de France Inter, le 20 octobre 2021 © Capture d’écran | Retouche / Montage photos: Jean-William L.G. - 01topinfo.fr*

Par : V.A.

Jamais avare de piques et de bons mots à l’égard de ses ex-compagnons socialistes ou de la classe politique en général, François Hollande a encore dégainé sur France Inter. Ce mercredi 20 octobre, l’ancien chef de l’Etat, a notamment reproché à la droite de ne pas mener la bataille des idées contre Eric Zemmour. Le journaliste, toujours pas officiellement déclaré candidat à l’élection présidentielle de 2022, représente un danger pour l’ex-président de la République. Il estime que « les thèses d’Eric Zemmour sont bien plus identitaires et extrêmes que celles de madame Le Pen ».

ICI ► Inscrivez-vous et recevez gratuitement la newsletter matinale

.@fhollande : "Les thèses d'Éric Zemmour sont bien plus identitaires et extrêmes que celles de madame Le Pen. Ceux qui le soutiennent, qui sont parfois des puissants, sont pour la scission des Français entre eux." #le79Inter pic.twitter.com/hSgHlzJ2wb
— France Inter (@franceinter) October 20, 2021

Zemmour : « une candidature de scission »

Le vainqueur de l’élection présidentielle de 2012 reconnaît que « les Français n’ont plus de vision d’avenir » pour décrire l’ascension fulgurante d’Eric Zemmour dans les sondages face à une classe politique traditionnelle impuissante. Mais, selon lui, Marine Le Pen et Eric Zemmour sont « des candidatures de scission, scission de la France par rapport à l’Europe, scission des Français entre eux, scission de l’économie par rapport au monde ». François Hollande a globalement taclé tous les acteurs de la vie politique à commencer par son successeur Emmanuel Macron qu’il a qualifié de d’opportuniste et de « choix par défaut ». La gauche en a aussi pris pour son grade avec ses candidatures « lilliputiennes » et un Jean-Luc Mélenchon décrit comme un « fardeau »

(SOURCE) : valeursactuelles.com SOURCE / LIRE L'ARTICLE COMPLET