France

[France][bsummary]

Europe

[Europe][bsummary]

International

[International][bsummary]

SCI-TECH

[SCI-TECH][bigposts]

Faits divers

[Faits divers][twocolumns]
Suivez nous sur :

[VIRUS] - Variole du singe : Peut-on compter sur le vaccin pour éviter la contagion ?

La Haute autorité de santé recommande ce mardi la mise en place d’une stratégie vaccinale réactive autour des cas confirmés du virus

Image d'illustration

L’ESSENTIEL

  1. En Europe comme aux Etats-Unis, les cas de variole du singe se multiplient un peu partout dans le monde.
  2. Plusieurs pays confrontés au virus ont ainsi décidé de mettre en place une stratégie vaccinale.
  3. En France, la Haute autorité de santé recommande ce mardi de vacciner les contacts des cas confirmés.

Royaume-Uni, Espagne, Etats-Unis, France, mais aussi Portugal, Suède, Maroc ou encore République tchèque : ces derniers jours, les cas d’orthopoxvirose simienne, plus connue sous les noms de variole du singe ou Monkeypox, se multiplient à travers le globe, faisant planer le spectre d’une nouvelle pandémie succédant à celle du Covid-19.

Si le nombre de cas, la contagiosité et la gravité de ces deux virus diffèrent grandement, les autorités sanitaires de plusieurs pays réfléchissent à la meilleure stratégie pour endiguer la propagation de cette variole du singe. Une stratégie qui repose sur l’administration du vaccin contre la variole classique. Dans un avis publié ce mardi, la Haute autorité de santé (HAS) préconise ainsi la vaccination des cas contacts. Alors, le vaccin nous épargnera-t-il une nouvelle pandémie ?

Les plus de 50 ans immunisés grâce au vaccin contre la variole classique

A ce jour, « il n’existe pas de traitements ou de vaccins spécifiques contre l’orthopoxvirose simienne, mais on peut endiguer les flambées, explique l’OMS. On a prouvé dans le passé que la vaccination antivariolique avait une efficacité de 85 % pour la prévention de l’orthopoxvirose simienne ». Car « le Monkeypox n’est pas le virus humain de la variole, ce sont deux virus proches mais différents, indique à 20 Minutes le Dr Jean-Daniel Lelièvre, chef du service immunologie et maladies infectieuses à l’hôpital Henri-Mondor. La protection conférée par le vaccin antivariolique contre le Monkeypox n’est donc logiquement pas totale, mais il offre ici une protection croisée, protégeant d’ailleurs plus contre la maladie que contre l’infection, comme on peut le voir avec le Sars-CoV2 ».

Ainsi, aujourd’hui, « on peut estimer que les personnes plus âgées seront protégées contre la variole du singe, en particulier les plus de 50 ans, poursuit le Dr Lelièvre. Celles et ceux nés dans les années 1960-1970, car c’est la dernière génération née au temps de la vaccination antivariolique obligatoire. Avec la problématique qu’en prenant de l’âge, on perd des populations immunitaires, donc on ne peut pas parler ici d’immunité collective. Pour autant, les plus âgés ne semblent pas relever des groupes à risque de contact avec cette infection ». […] L'ARTICLE COMPLET ICI


(SOURCE) : 20minutes.fr SOURCE / LIRE L'ARTICLE COMPLET

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans les commentaires sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à 01topinfo.fr ®